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domenica 28 aprile 2019

2019 L21: Benjamin Dierstein - La sirène qui fume


Nouveau monde éditions, 2018

Mars 2011. La campagne présidentielle bat son plein, plus d'un an avant les élections. Le capitaine Gabriel Prigent débarque à la brigade criminelle de Paris après avoir vécu un drame à Rennes. Obsédé par l'éthique, il croise sur son chemin le lieutenant Christian Kertesz de la brigade de répression du proxénétisme, compromis avec la mafia corse et tourmenté par un amour perdu. Alors qu'éclate une sordide histoire d'assassinats de prostituées mineures, ils plongent tous les deux dans une affaire qui rapidement les dépasse, entraînant dans leur chute une ribambelle d'hommes et de femmes qui cherchent à sauver leur peau ? flics dépressifs, politiciens salaces, médecins corrompus, gangsters imprévisibles et macs tortionnaires. Poursuivis par leurs propres obsessions et les fantômes qui les hantent, Prigent et Kertesz vont se livrer un duel sans merci, au coeur de la barbarie et des faux-semblants du monde contemporain.

Che questo libro abbia avuto la prefazione di Caryl Férey non depone a favore di quest'ultimo. Storie strampalate con due superuomini che cercano la stessa persona, senza che si capisca perché il poliziotto corrotto e assassino lo faccia; i nostri due, in particolare il corrotto e assassino, non si fermano di fronte a nulla, nemmeno quando gli spaccano la faccia e le mani a colpi di martello: finisce in oespdale e due-tre giorni dopo riparte alla caccia, peggio di superman. Il primo invece, cosciente che sta mandando a monte la relazione conta moglie e la figlia rimasugli, dopo la scomparsa della prima, non gliene sbatte nulla e va avanti, cibandosi di quantità industriali di medicine, quasi da far invidia al secondo poliziotto, quello assassino.

Insomma, non si capisce il senso dell'operazione. Letto per senso del dovere, ma per carità,  meglio che l'autore cambi mestiere.

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