lunedì 15 giugno 2015
2015 L26: Guerre sale - Dominique Sylvain
Florian Vidal, avocat spécialisé dans les contrats d’armement et les relations franco-africaines, a été assassiné de manière effroyable : brûlé vif aux abords d’une piscine, un pneu enflammé autour du cou, les mains menottées.
C’est l’Afrique en plein cœur de Colombes, patron. Les connaisseurs appellent ça le supplice du Père Lebrun. Une technique en vogue à Haïti du temps des tontons macoutes.
La coutume est sans doute née à Soweto où elle était, entre autres, la punition favorite pour les voleurs. Vous connaissez le cri de révolte de l’anti-apartheid radical ?
« Avec nos boîtes d'allumettes et nos pneus enflammés, nous libérerons ce pays. » L’une des phrases favorites de Winnie Mandela. Or, cinq ans auparavant, Toussaint Kidjo, l’assistant de Lola, de père français et de mère congolaise, avait été assassiné de la même façon.
C’est ce meurtre, jamais élucidé, qui avait conduit Lola à anticiper sa retraite.
Florian Vidal travaillait pour Richard Gratien, maillon fondamental de la Françafrique pour le secteur de l’armement.
Redoutable et froid, Mister Africa, souvent dans le collimateur de la justice française, s’était pris d’affection pour Florian qu’il avait engagé comme chauffeur.
Par la suite, il en avait fait un avocat réputé et riche et, avec les années, son fils adoptif. Pour Lola le lien entre les deux affaires ne fait aucun doute. Elle reprend alors son enquête mais empiète terriblement sur le travail du commandant en charge de l’affaire, fort sensible en raison des milieux qu’elle touche : la finance, la politique, les affaires étrangères, Sacha Duguin, ancien amant de son amie Ingrid avec qui il continue d’entretenir des rapports houleux…
Lola doit se rendre à l’évidence, seule elle ne pourra rien, l’ennemi est plus puissant qu’il en a l’air. Dans ce contexte difficile, quel rôle notre duo va-t-il bien pouvoir jouer ?
Allora, devo dire che libri precedenti di quest'autrice mi erano piaciuti, per cui mi sono lanciato con tanta buona volontá e speranza. Ma devo dire, come lo fa notare uno dei commentatori sul sito Babelio, che la quantità di personaggi e quindi di nomi, lascia perplessi perchè alla fine si rischia di perdersi. O lo si legge tutto d'un fiato, e allora si arriva alla fine senza perdersi, oppure ogni volta é un problema ricordarsi chi è chi. Arrivati alla fine, devo ammettere che non l'ho capita. Semplicemente.
Poi tutto sto ambaradam sulla Franceafrique mi é sembrato un po' mal fatto.. così centrato sui personaggi che alla fine la storia che si fa capire si voleva raccontare, sparisce. Insomma, non mi ha convinto.
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