domenica 15 maggio 2011
L 27: Un tout petit monde - David Lodge
Rivages, 1992
En préambule de son roman, précisant que toute ressemblance avec des faits ou des personnages réels serait fortuite, David Lodge invite son lecteur à ne pas se laisser abuser par la fiction qui lui est donnée à lire. Faussement soucieux de préserver l'honorable image du microcosme dont il se moque, cette précaution d'usage n'a d'autre but en vérité que de signifier la réalité de son propos. En matière d'ironie, Lodge est un maître incontesté, et pour servir ses méchantes ambitions, il pousse la caricature (acide, mais jamais amère) parfois jusqu'à l'extrême. Ainsi, il traque, dénonce, fustige et se moque superbement des mesquineries calculatrices, des petites ambitions des "grands littérateurs" qui se déplacent de congrès en réunions internationales comme ils iraient à la parade, jouant les érudits, les beaux esprits ou encore les séducteurs de salons. Mais avant tout, sa métaphore nous touche et nous amuse, car effectivement, "que le monde est petit" ! --Lenaïc Gravis et Jocelyn Blériot
Ho provato due volte a leggerlo e per due volte mi sono fermato a metà. Sarà forse perchè il mondo descritto non mi è così lontano, la vacuità di molti "intellettuali", l'autocompiacenza, la ricerca di esser visti e riconosciuti.. insomma penso faccia sorridere o ridere chi non li ha visti da vicino; a me non fa nemmeno troppo ridere, lo trovo lento e ripetitivo, avrebbe potuto svolgere lo stesso tema con la metà delle pagine. Una idea un po' populista e qualunquista, insomma non lo consiglio.
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