Gallimard, Folio, 2003
On a tué l'homme qu'elle aimait.
Ivre de chagrin, Carmelita quitte Brasilia et se jette dans la folie grouillante de Rio comme on se fiche à l'eau. Son fils aîné de seize ans l'accompagne. Lorsqu'ils descendent du bus, ils ont le sentiment de débarquer dans un ailleurs indéfinissable. La ville est immense, violente, imprévisible et dévore ses enfants. Logés dans le bidonville qui domine le vieux pénitencier où pourrissent des milliers de détenus dont on entend les voix comme autant d'âmes damnées, Carmelita et Emerson comprennent que pour survivre il leur faudra mettre les mains dans la boue noire du crime.
Carmelita est mêlée à un sequestro tandis qu'Emerson est enrôlé dans la guerre qui déchire les orgas criminelles des favelas... Une superbe tragédie carioca, un livre inoubliable.
Scoperto casualmente, la scrittura di BM è proprio di alta qualità. Terzo libro di una trilogia chiamata Il sangue del capricorno, appena torniamo devo comprare i primi due volumi, Zé e Otelo. Raccomandatissimo, nessun dubbio che sarà nella Top dell'anno.
lunedì 14 agosto 2017
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