questo post, ripreso da Le Monde, si riferisce a quello del 30 dicembre sul Re del Belgio e la teoria del domino
Johan Vande Lanotte s'était vu confier une mission de conciliation entre les formations politiques belges en octobre par le roi Albert II.AFP/FILIP CLAUS
Johan Vande Lanotte a mis fin, jeudi 6 janvier, à sa "mission de conciliation" entre les formations politiques belges, qui ne parviennent pas à s'entendre sur la formation d'un gouvernement, a annoncé le palais royal. Cependant, le roi des Belges n'a pas accepté immédiatement cette démission et "tient sa réponse en suspens", avant de revoir le sénateur socialiste flamand lundi.
Le sénateur socialiste flamand s'était vu confier cette mission le 21 octobre par le roi Albert II afin d'esquisser une profonde réforme de l'Etat fédéral. Car la Belgique est privée de gouvernement depuis deux cent sept jours, seulement dirigée par un cabinet chargé de gérer les affaires courantes.
Mais mercredi, soit la date-butoir fixée par le roi, les deux principaux partis flamands n'ont pas approuvé le document qu'il avait élaboré pour servir de base à des négociations.
ADAPTATIONS SUR DES "POINTS ESSENTIELS"
La Nouvelle Alliance flamande (NVA, droite indépendantiste), le premier parti de Flandre, a ainsi formulé des "observations fondamentales quant au contenu et à la portée" du texte qui lui était proposé. De la même façon, le CD&V (chrétien démocrate et flamand) réclame des adaptations sur des "points essentiels".
Selon les grandes lignes du document de M. Vande Lanotte, une partie des 130 000 francophones qui vivent en périphérie flamande de Bruxelles perdraient leurs privilèges judiciaires et électoraux, tandis qu'une autre partie continuerait de jouir d'un statut spécial dans six communes de la banlieue.
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